C'est fou comme les banquiers aiment les journaleux
C'est fou comme les banquiers aiment les journaleux
Les banquiers nous aiment au point de nous faire travailler toujours plus en nous payant toujours moins. A cette fin, ils ont su mettre en place une organisation économique qui nous fasse prendre des vessies pour des lanternes ( ceux qui sont un peu moins aveugles que la moyenne sont traités d'affreux gauchistes). Il faut reconnaître que les journaleux y ont mis toutes leurs compétences, leurs savoir faire pour dispenser une propagande adaptée aux besoins de ces banquiers. Rappelez-vous dans les années 80: qui chantaient sur tous les tons "vive la crise"? Les chômeurs ou les journaleux?
En effet "La presse bourgeoise nous chante chaque jour, sur tous les tons, la valeur et la portée des libertés politiques, des droits politiques du citoyen": suffrage universel, liberté des élections, liberté de la presse, de réunion,etc. Voilà à quoi se réduisent les soi-disant libertés politiques: liberté de presse et de réunion, inviolabilité du domicile et de tout le reste ne sont respectées que si le peuple n'en fait pas usage contre les classes privilégiées. Mais le jour où il commence à s'en servir pour saper les privilèges, toutes ces soi-disant libertés sont jetées par-dessus bord*. .
Depuis 30 ans, un système mis en place par l'aristocratie nationale et internationale peut voler jour après jour le fruit du travail des travailleurs et des travailleuses du monde entier sans qu'un seul journaleux copain avec les politiques et les patrons nous vante les biens faits du capitalisme. L'économie "esclavagiste" n'a donc pas été pas abolie, il a même repris de la vigueur depuis que "les élites politiques" prétendent ne pouvoir rien faire contre la divine "main invisible" du capitalisme et de l'économie de marché. Mais pour que cela dure aussi longtemps, il fallait la complicité de la presse et des médias en général. Sarko ne s'y est pas trompé, il a mis dans sa poche les journaleux qui sont aujourd'hui à sa merci.
Grâce à internet, les journaleux ont un peu moins de pouvoir sur la modélisation de l'opinion publique mais le mal est fait.
mada
*Piotr Alckeïevitch Kropotkine ( 1883)
En effet "La presse bourgeoise nous chante chaque jour, sur tous les tons, la valeur et la portée des libertés politiques, des droits politiques du citoyen": suffrage universel, liberté des élections, liberté de la presse, de réunion,etc. Voilà à quoi se réduisent les soi-disant libertés politiques: liberté de presse et de réunion, inviolabilité du domicile et de tout le reste ne sont respectées que si le peuple n'en fait pas usage contre les classes privilégiées. Mais le jour où il commence à s'en servir pour saper les privilèges, toutes ces soi-disant libertés sont jetées par-dessus bord*. .
Depuis 30 ans, un système mis en place par l'aristocratie nationale et internationale peut voler jour après jour le fruit du travail des travailleurs et des travailleuses du monde entier sans qu'un seul journaleux copain avec les politiques et les patrons nous vante les biens faits du capitalisme. L'économie "esclavagiste" n'a donc pas été pas abolie, il a même repris de la vigueur depuis que "les élites politiques" prétendent ne pouvoir rien faire contre la divine "main invisible" du capitalisme et de l'économie de marché. Mais pour que cela dure aussi longtemps, il fallait la complicité de la presse et des médias en général. Sarko ne s'y est pas trompé, il a mis dans sa poche les journaleux qui sont aujourd'hui à sa merci.
Grâce à internet, les journaleux ont un peu moins de pouvoir sur la modélisation de l'opinion publique mais le mal est fait.
mada
*Piotr Alckeïevitch Kropotkine ( 1883)
mada- Messages : 981
Date d'inscription : 11/10/2007
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