Cousu de fil rouge.

borbo a écrit:Il ne fait guère de doute que la Gauche en morceaux, et plus particulièrement le parti anticapitaliste, vont pousser les feux, dans les semaines à venir, pour faire en sorte que la crise économique actuelle se manifeste aussi par une crise sociale dans la rue.
Ce qui se passe en Grèce doit les inspirer.

borbo a écrit:Il ne fait guère de doute que la Gauche en morceaux, et plus particulièrement le parti anticapitaliste, vont pousser les feux, dans les semaines à venir, pour faire en sorte que la crise économique actuelle se manifeste aussi par une crise sociale dans la rue.
Ce qui se passe en Grèce doit les inspirer.
Ils attisent aujourd'hui les ados dans les lycées et les jeunes dans les universités pour aller au casse-pipe, en sachant pertinemment que les marginaux des cités profiteront de l'aubaine pour mettre à sac les boutiques et les administrations.
Ils auront beau jeu de crier à l'Etat fasciste en cas de dérapage.

Ah, nostalgie quand tu nous tiens!

C'est Mada et Laulau qui vont être contents.

borbo a écrit:

Avant de considérer que j'ai tort, Mada, j'attendrai que la crise passe car je ne crois pas à vos pseudos alternatives collectivistes et naturalistes.

Mon pauvre Borbo, je ne connais pas votre âge, mais j'ai bien peur que nous ne sucriez les fraises, voire que vous ne mangiez les pissenlits par la racine avant la fin d'une crise qui n'en est qu'à son tout début.



Vous avez aujourd'hui l'illustration de ce que peut-être la planète "sans croissance", pourtant votre slogan favori.

Pour tordre les concepts, vous n'avez pas votre égal. Je ne suis pas un fanatique des thèses écologistes, mais comparer ce qui nous vient sur la tête avec leur projet de société il faut soit avoir une sacré mauvaise foi soit ... faire un début de sucrage de fraise,voir plus haut.

borbo a écrit:Laulau, en écoutant M.G Buffet ce matin, j'étais affligé de constater que l'on considère encore, dans les rangs de la Gauche désunie, qu'elle seule représente les "forces de progrès". C'est d'un ridicule absolu lorsque l'on sait que l'application de ses thèses éculées nous renverrait un siècle en arrière, dans une misère absolue et aux heures les plus sombres des fascismes génocidaires du XXème siècle.

Actuellement, que vous le vouliez ou non, il n'y a pas d'alternative à Gauche, sinon de vagues utopies dévaluées par l'Histoire.

Ce n'est pas la scandaleuse manipulation des jeunes, pour les pousser dans la rue, qui pourra me faire changer d'avis.

borbo a écrit:Laulau, en écoutant M.G Buffet ce matin, j'étais affligé de constater que l'on considère encore, dans les rangs de la Gauche désunie, qu'elle seule représente les "forces de progrès".
Là nous sommes d'accord, elle est affligeante! Mais pas pour les raisons que vous avancez.


C'est d'un ridicule absolu lorsque l'on sait que l'application de ses thèses éculées nous renverrait un siècle en arrière, dans une misère absolue et aux heures les plus sombres des fascismes génocidaires du XXème siècle.


A vous savez que .... Vous en savez des choses! Moi je n'en sais pas autant mais je constate que ces "thèses éculées" de Marx se vérifient aujourd'hui sous vos yeux aveuglés par le Sarkozysme. A propos j'ai noté que votre message initial est un quasi cpié collé d'une déclaration de ce cher Nicolas.

Actuellement, que vous le vouliez ou non, il n'y a pas d'alternative à Gauche, sinon de vagues utopies dévaluées par l'Histoire.

Vous savez, les alternatives en temps de crise, cela va vite. En 1936 l'extrême droite était aux abris ... elle paradait en 1940 et elle était en fuite en 1945.

Ce n'est pas la scandaleuse manipulation des jeunes, pour les pousser dans la rue, qui pourra me faire changer d'avis.

Là c'est encore du Sarkozy! La manipulation des jeunes c'est plutôt l'abrutissement par la télé, la réussite à tout prix en écrasant les autres et en guise de culture ... la consommation.

Laulau a écrit:

borbo a écrit:Laulau, en écoutant M.G Buffet ce matin, j'étais affligé de constater que l'on considère encore, dans les rangs de la Gauche désunie, qu'elle seule représente les "forces de progrès".
Là nous sommes d'accord, elle est affligeante! Mais pas pour les raisons que vous avancez.


C'est d'un ridicule absolu lorsque l'on sait que l'application de ses thèses éculées nous renverrait un siècle en arrière, dans une misère absolue et aux heures les plus sombres des fascismes génocidaires du XXème siècle.


A vous savez que .... Vous en savez des choses! Moi je n'en sais pas autant mais je constate que ces "thèses éculées" de Marx se vérifient aujourd'hui sous vos yeux aveuglés par le Sarkozysme. A propos j'ai noté que votre message initial est un quasi cpié collé d'une déclaration de ce cher Nicolas.

Actuellement, que vous le vouliez ou non, il n'y a pas d'alternative à Gauche, sinon de vagues utopies dévaluées par l'Histoire.

Vous savez, les alternatives en temps de crise, cela va vite. En 1936 l'extrême droite était aux abris ... elle paradait en 1940 et elle était en fuite en 1945.

Ce n'est pas la scandaleuse manipulation des jeunes, pour les pousser dans la rue, qui pourra me faire changer d'avis.

Là c'est encore du Sarkozy! La manipulation des jeunes c'est plutôt l'abrutissement par la télé, la réussite à tout prix en écrasant les autres et en guise de culture ... la consommation.

borbo a écrit:Une crise ne signe pas nécessairement l'arrêt de mort d'un système, qui a montré depuis longtemps sa supériorité sur tout autre.
Vous viendrait-il à l'idée de brûler votre voiture parce qu'elle est en panne?
C'est un peu ce que souhaite le facteur en vélo et il fait tout pour.
Normal!
Aujourd'hui ses sympathisants se servent des jeunes lycéens et étudiants pour faire monter la mayonnaise.
Ils savent que c'est le point sensible de notre société.

Des ados totalement manipulés, qui suivent celui qui gueule le plus fort.

Avant de considérer que j'ai tort, Mada, j'attendrai que la crise passe car je ne crois pas à vos pseudos alternatives collectivistes et naturalistes.

Vous avez aujourd'hui l'illustration de ce que peut-être la planète "sans croissance", pourtant votre slogan favori.

Une crise ne signe pas nécessairement l'arrêt de mort d'un système, qui a montré depuis longtemps sa supériorité sur tout autre.